C’est un poison qui nous conduit au cancer et ce, dès la naissance. Nous devons donc nous en protéger et protéger nos enfants.
Ce poison est émis par les cellules mortes ou blessées, faute d’oxygénation et de nourriture, après un délai de 24 heures (dixit Nicklas Brendorg).
Ce produit nocif détruit notre système immunitaire à raison de 1% l’an, le rendant inefficace lors de grandes maladies ou virus.
Le défaut d’oxygénation et de nourriture est provoqué par la rupture de la circulation sanguine dans nos microvaisseaux aboutissant à une perte de 1% de notre système immunitaire.
Ce blocage de nos vaisseaux sanguins provient du poids des pressions atmosphériques anormales sur notre corps.
Notre rôle est donc de réguler cette pression atmosphérique à 1013 millibars de même que la pression de notre corps doit être à 37° et notre pression artérielle à 13,6, et bien d’autres normes encore.
Il ne faut pas plaisanter avec ces variations : elles sont vitales
Ce sera le travail du régulateur Hygée que vous trouverez dans le commerce à partir du 15 mai et en commande sur internet.
Tout ce que j’affirme a été expérimenté selon la théorie de Nicklas Brendborg. Cependant, personne, à ce jour, n’avait pensé aux pressions atmosphériques comme cause de tous nos maux.
J’avoue être étonné que nos milliers de chercheurs n’aient jamais pris en compte les variations des pressions atmosphériques, probablement parce qu’elles sont invisibles.
L’homme est pris dans un filet invisible
Servons-nous de la petite souris pour ronger ce filet et rappelez-vous qu’on a souvent besoin d’un plus petit que soi. Ce sera mon régulateur, de la dimension d’une boîte d’allumettes qui va ronger ce filet qui enserre l’homme.
C’est pourtant si simple, probablement trop simple pour qu’on n’y ait pas pensé.
Voilà le vrai problème pour vous, Monsieur Macron : il va falloir remettre vos tablettes à jour. Ce sera la contrepartie d’une vie plus longue mais aussi d’une retraite beaucoup plus longue.
Je souhaite simplement, Monsieur le Président, que ce mini mécanisme qui ne touche pas à l’homme mais à son environnement, la nuit en dormant, soit pris en charge par la Sécurité Sociale.
Ce ne serait que le juste retour d’une économie des 100 milliards que vous coûtent aujourd’hui ces grandes maladies. Sans oublier qu’au-delà, disons des maladies, ce régulateur provoquera un renouveau d’énergie, un renouveau de productivité, un renouveau de toutes nos facultés. Ce sera donc, Monsieur le Président, un renouveau économique.
La France va montrer le chemin et va retrouver son titre de Pays des Lumières. Nous mettrons ainsi fin à notre dépendance actuelle et nous retrouverons notre liberté sanitaire, intellectuelle et économique.