Il est surprenant de constater la vitesse avec laquelle un enfant apprend dès sa naissance et jusqu’à 5 ou 6 ans.
Serait-ce un manque d’irrigation du cerveau qui limiterait le travail des neurones et qui rendrait difficile l’acquisition des connaissances au-delà de 30 à 40 ans et la perte de ces connaissances au-delà de 70 ans ?
A-t-on cherché à réoxygéner nos neurones en permanence, tout au long de notre vie ?, car il arrive un moment où l’on commence à perdre la mémoire.
Viendra un jour où l’on apprendra et l’on ne perdra plus, ni sa mémoire, ni sa connaissance.
Il faut donc supprimer la cause de ce manque d’oxygène et l’on arrivera très vite à rester des enfants surdoués et des adultes découvreurs, jusqu’à la fin d’une vie très longue qui nous permettra de concevoir les frontières de l’infini grâce à un cerveau qui ne sera jamais détruit.
Des scientifiques à 10 000 m d’altitude
Les scientifiques ont mis des cancéreux dans un avion et sont montés à 10 000 m d’altitude. Ils se sont aperçus du résultat qui permettait de stopper le cancer.
En fait, ils ont fait ce que moi je propose sur terre. L’important est que les scientifiques aient pris conscience de l’importance de la pression atmosphérique sur notre propre corps et encore davantage pour stopper les cancers.
Il est vrai qu’à 10 000 m d’altitude la pression atmosphérique est quasiment nulle. Mais il y a un inconvénient à cette altitude, c’est qu’il n’y a plus ‘oxygène et l’on ne fera pas monter dans des avions 500 millions de cancéreux dans le monde et en permanence… On pourra encore moins les mettre en apesanteur où il n’y a plus de pression, il n’y a plus d’oxygène et le problème de l’occlusion des micro vaisseaux fait rage.
Ce n’est donc pas la très bonne solution mais, au moins, les scientifiques d’aujourd’hui auraient-ils compris que l’on puisse, de façon mécanique, stopper les cancers ?
Ce que je propose, ne se fera pas dans un avion mais bien sur terre, dans sa chambre à coucher et en dormant pour les cancéreux et pour ce qui ne sont pas encore atteints d’un cancer.
Ma solution présente l’avantage sérieux qu’elle aura un coût extrêmement réduit de 3 000 à 3 500 €. Faire vivre les cancéreux en altitude coûterait plus de 100 000 € par jour…
Ce qu’il y a d’important, c’est le principe du maintien de la pression atmosphérique à 1013 millibars.
Ce que je propose sera à la portée de tous et coûtera bien moins cher qu’une voiture. Il s’agit, en fait, d’un investissement pour notre vie.