Dans ma vie, j’ai été trop souvent seul pour mener mes combats contre la cupidité et contre l’incrédulité.
Ce fut encore plus difficile quand il m’a fallu faire modifier des textes législatifs, et j’ai gagné, parfois avec l’aide des Présidents de la république. Ce fut le cas avec le Président de Gaulle et ce fut le cas avec le Président Mitterrand.
Dans mon combat, pour une vie en pleine forme et beaucoup plus longue et contre les variations des pressions atmosphériques, j’ai un allié de taille : « la vie ». Une vie qui nous a été prêtée par la nature, une nature si belle mais aussi si dangereuse qu’elle veut la reprendre.
La vie m’habite, je veux la conserver dans son état initial, en me battant contre tout ce qui la détruit et en commençant par les effets néfastes d’une nature déchaînée.
J’ai perdu ma mère d’un cancer, mon père aussi, mes frères et sœurs aussi car je considère qu’un arrêt cardiaque est la conséquence d’un cancer. Hier encore, j’ai perdu un de mes amis et mon seul regret, aujourd’hui, c’est de ne pas avoir mis en place « Hygée » plus tôt.
Et ils sont 250 000 chaque année en France qui subissent le même sort.
Ce qu’il faut que l’on comprenne bien, c’est que dès la naissance il va falloir mener le combat pour réguler les pressions atmosphériques là où nous vivons et ce, au moins huit heures par jour, en une seule fois ou en plusieurs fois.
Je me bats pour la vie et contre tout ce qui peut la détruire. Ce n’est pas par écologie, ni par intérêt, mais seulement par le bonheur de vivre en pleine forme et beaucoup plus longtemps, pour moi et pour tous les hommes.
Ce que j’ai découvert, personne n’y avait pensé, et c’est pourtant si simple. Personne n’avait cherché à combattre le plus grand ennemi de l’homme, celui qui cherche à détruire nos cellules en se servant d’une rupture de la circulation de nos microvaisseaux.
C’est la seule cause de toutes les grandes maladies qui proviennent d’une absence d’oxygène et entraînent la mort de nos cellules. Elles-mêmes vont se venger en émettant, par leur décomposition, un produit nocif et délétère qui conduit au cancer.
Et, comme toujours, il ne suffisait pas de le dire ; il fallait donner à l’homme l’outil nécessaire pour se défendre. Ce sera fait le 15 mai prochain, date de la naissance de ce matériel de la grosseur d’une boîte d’allumettes.
Oui, c’est peut-être devenu ma marotte, mais quand vous l’aurez utilisé, vous comprendrez que vivre en pleine forme et longtemps, c’est tout simplement un bonheur de vivre.
Demain, riches et pauvres seront à égalité devant la santé et l’on pourra redire alors, que le service social français est le meilleur de tous.
Tous d’accord pour se faire de l’argent
Le cancer provient des cellules mortes par manque d’oxygène et par la décomposition de ces dernières qui se vengent de ne pas les avoir protégées. Elles émettent, dès lors, un produit pire que l’arsenic.
À ce jour, personne n’avait donné, ni la cause, ni la solution, pour éviter la mort de milliers de ces cellules. En fait, ils sont tous d’accord aujourd’hui pour reconnaître la cause des cancers ; il manquait simplement un maillon à la chaîne de notre processus vital.
Ils sont tous d’accord pour nous dire qu’il s’agit d’un problème d’environnement de nos cellules, mais personne n’avait pensé aux variations des pressions atmosphériques, seule cause de tout ce drame.
Ils ont préféré chercher ce qui rapportait gros mais, moi, je préfère la solution d’éviter qui coûtera très peu d’argent face au résultat obtenu. Je demande, une fois encore, aux autorités de permettre à tous d’en être équipés, pauvres comme riches.
À une économie de 100 milliards l’année attribués aujourd’hui pour les soins, je propose qu’on n’en consacre seulement que 6 à 7 milliards pour éviter d’avoir à soigner.
Mais est-ce que la cupidité, pour une fois, fera place à la vie et à l’intérêt de tous ?