Faire progresser l’emploi des seniors par des mesures imposées ne marchera jamais. Nous savons fort bien que la rentabilité des seniors coûte aujourd’hui plus cher que celle des jeunes.
En revanche, redonner à ceux que l’on appelle seniors, les facultés de leurs vingt ans, me paraît beaucoup plus crédible. Aujourd’hui, Hygée en sera la solution, une solution toute naturelle avec des moyens mécaniques permettant d’éviter à nos cellules toute rupture d’oxygène, en régulant les variations des pressions atmosphériques à 1013 millibars. Et nous savons le faire.
Le vrai miracle, c’est que nos cellules possèdent une mini réserve d’oxygène, car, dans les tuyauteries, il reste toujours un peu de sang et, par conséquent, de l’oxygène.
Mais il ne faut pas que la rupture soit supérieure à 24 h. C’est pourquoi j’ai privilégié la nuit pour reconstituer, tous les jours, les réserves d’oxygène quelles que soient les pressions extérieures à notre chambre à coucher. La normale, c’est 1013 millibars. Et bien nous allons la réguler en permanence à 1013 millibars.
C’est la solution, Madame la Première Ministre, pour que les seniors puissent assurer un travail comme à 20 ans.
Installer Hygée, c’est 20 fois moins cher que l’installation d’un chauffage central dans trois ou quatre pièces, et nous ne perdrons plus 1% de notre système immunitaire chaque année. Nous ne coûterons plus à la Sécurité Sociale les 100 milliards de soins annuels, sans oublier une peur qui va disparaître, celle d’un cancer, d’un Alzheimer, d’un Parkinson.
Et nous conserverons la totalité de nos facultés, de notre dextérité, de notre envie de vivre. En fait, la vieillesse n’existera plus dans les conditions actuelles.
Oui, Madame la Première Ministre, aidez-moi à mettre en place une prise en charge, par la Sécurité Sociale et les Mutuelles, de l’outil que j’ai conçu ; c’est une nécessité pour vivre longtemps et en pleine forme. Je dirai même beaucoup plus : ce sera l’outil des records physiques et intellectuels.
Ma vie, votre vie, Madame la Ministre, va changer. Personne, à ce jour, dans le monde médical n’y a pensé et, encore moins, trouver la solution.
Madame la Première Ministre, pensez à tous nos enfants qui arrivent : donnons-leur la chance de conserver, toute leur vie durant, ce que vous attendez des seniors. Donnez-leur la chance d’entrer dans ce nouveau monde. Ce n’est pas une plaisanterie. Le monde médical ne peut ignorer, à ce jour, les conséquences des variations des pressions atmosphériques.
J’avoue que je m’étonne que personne n’y ait pensé.
Remettre tous les déserts en culture
Pour assurer la nourriture aux 10 ou 12 milliards d’habitants grâce à Hygée, qui va permettre de vivre jusqu’à 150 ans, il va falloir, d’ici la fin de ce siècle, remettre en culture tous les déserts. En même temps, on résoudra le problème du réchauffement et on évitera de passer sous un gril…
Alors, comment faire ? Aujourd’hui, nous allons construire des mini centrales nucléaires qui pourront, dans tous les déserts, fournir l’énergie nécessaire pour pomper l’eau qui se trouve sous les sables dans d’immenses nappes phréatiques.
On pourra peut-être d’ici-là effectuer d’immenses travaux pour utiliser l’eau des fleuves qui traversent l’Afrique au niveau de l’Equateur.
Dans le temps, il y a de cela quelques centaines d’années, on a construit des aqueducs pour alimenter les villes en eau potable. N’est-ce donc plus possible aujourd’hui pour irriguer les déserts en prenant l’eau de ces fleuves qui vont se jeter dans la mer ?
Arrêtons de pleurnicher et de prévoir la fin du monde par trop de températures, par manque d’eau, par manque de naissances.
On a tous étudié le passé et on a appris que les déserts étaient des zones de forêts. Là encore, il faut réguler la nature, et nous verrons qu’en recultivant les déserts et en les replantant, l’eau reviendra par la pluie. C’est une solution purement mathématique et naturelle.
Tout est un problème de régulation : la pluie dans les déserts, un homme de 150 ans et plus. Ce n’est que l’incrédulité qui a fait prendre du retard.
On se vante d’aller sur la Lune, où il n’y a pas une goutte d’eau. Ne pourrait-on pas consacrer une part de ces moyens à remettre en culture les déserts et à donner à l’homme les moyens de vivre très longtemps ?
C’est l’intelligence de l’homme qui va gagner face aux dérégulations de la nature ; faut-il encore qu’il le veuille et qu’il en prenne les moyens.